• LES NOEUDS

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  • Un peu de vécu scout 
        C'est au cours de l'année scolaire 1971-72 que j'ai commencé le scoutisme, à Cherbourg, à la suite de mon frère. Louveteaux de la 1ère Saint Simon (rue Simon). Au cours de cette année, ou la suivante, nous sommes passé de la tenue (nous osions encore à cette époque dire uniforme) bleue avec berret à la tenue jaune des "petits poussin" que souhaitaient alors faire de nous les pédagogues rénovateurs de la pensée de BP. Je me souviens que nous n'aimions pas cette tenue qui nous semblait bien féminine. La mode ne proposait pas cette couleur pour les hommes que nous espérions, même enfants, alors devenir. Mais que peuvent des enfants face à la détermination de pédagogues qui voulaient, de manière prophylactique, protéger le scoutisme de tout risque de dérives militaristes ?
    Heureusement, la perspective d'être grands et d'enfin porter une tenue aux couleurs masculines, aux Rangers nous permit de garder patience et de ne pas vivre de manière trop tromatisante et pour tout dire "castratrice" le changement de pédagogie. Et puis, les cheftaines étaient si sympathiques. Spècialement "cheftaine Nenette' (Bernadette Gornouvelle)
    Camp à Bréville sur Mer

         Années scolaires 1976-77, 1977-78 et 1978-79 :
    Septembre 1976, enfin l'âge de devenir "Rangers". Des années fortes en émotions et apprentissages divers.
    Camp à Poole - Dorset, en Angleterre
    Camp à Giel
         Années scolaires 1979-80, 1980-81 et 1981-82 : les pionniers.

         Années scolaires 1982-83, 1998-84 : les compagnons 
    Feu de forêts à Trets, près de la montagne Saint victoire et de la sainte Baume.
    Service à ??? en Auvergne

         Année scolaire 1988-89, interruption pour cause de service militaire.

         Années scolaires 1989-90 et 1990-91 : Chef de poste pionniers et réorganisation du groupe scout de Valognes 
    Camp à ?? 
    Camp à Chaulieu (près du château) près de Sourdeval

         Entre septembre 1991 et septembre 1993, interruption pour cause de formation religieuse et sacerdotale. 

         Entre 1993 et 1994, formation "Cham" (Chamarande), BAFD scout de France. 

    Un peu de vécu scout



         Années scolaires 1996-97, 1997-1998 : membre associé chargé de mission "relations inter-associations" des scouts de France de Paris-Est.  

         Années scolaires 1998-99, 1999-00, sept 2000-à janvier 2001 : groupe scouts de France de Saint Lô. Chef du poste pionniers.
    Camp à Borce, dans les Pyrénnées
    Camp en deux temps : sur les chemins du Mont St Michel et à Biville.

    Beaucoup d'amis :
    De bons souvenirs :
    Des regrets :





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  • Gwen ha Du 

    Gwen ha Du

    (Blanc et Noir)
    le "Drapeau Breton"


    Le blason des rois de Bretagne était un écu héraldique "d'hermines plein".
    Avant la guerre de 1939, le PNB (Parti National Breton) jugea utile de créer, pour la Bretagne, un vrai drapeau formé de 9 bandes horizontales : 5 noires et 4 blanches alternées.
    Les bandes noires figurent les diocèses de langues françaises (Dol, Nantes, Rennes, Saint-Malo et Saint-Brieuc) ; 
    Les bandes blanches figurent les diocèses de langue bretonne (Trégor, Léon, Cornouaille et Vannes).
    Le champ d'hermines fut conservé en canton pour rappeler le souvenir des ducs de Bretagne.
    Le drapeau breton est le seul au monde à ne porter aucune couleur. 

     

    Gwen ha Du

    Gwen ha Du

     


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  • Bro Dreger (Tregor)Bro-Dreger (Pays du Tregor) 

         Territoire autour de Tréguier qui fut évangélisé par Saint Tugdual à la fin 5ème, début du 6ème Siècle.
    Territoire de langue et de traditions bretonnes.
    Territoire d'histoire et de patrimoine riche.
    Terre de caractère où la mer et les vents découpent en dentelle les rochers de bord de mer. C'est en voyant les éléments sculpter le granit que les bretons n'hésitèrent pas à faire de même.
    Regardez nos maisons, manoirs et chateaux ... et surtout nos clochers. Le granit y est travaillé comme la mer le fait le long des côtes.
    Massives et dures les roches ne résistent pourtant pas plus aux hommes que le dragon ne résista à Tugdual qui porta la Croix en cette terre encore païenne !
    Le drapeau du Bro-Dreger n'exprime t'il pas tout celà ?

        J'ai choisi ce territoire pour y établir mon pied à terre.
    Ici, la légende n'existe pas ; en effet, ce que certains appellent légendes, n'est que la réalité vue sous un autre regard. En Bro-Dreger rien est à voir en homme de raison pure, seuls les poètes peuvent voir les subtilités des paysages rayonnants et joyeux malgré les tourments du climat.

    Tad Kristof 07/07/09



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  •       Comme chaque jour, vendredi aux aurores, quelques secondes après m’être levé, je me rends à la salle de bain pour mes ablutions matinales. Machinalement, mon premier geste, avant même d’ouvrir le robinet du lavabo, consiste immanquablement à allumer la radio pour écouter les nouvelles tout en me livrant à ma toilette. Or, ce matin-là, en ouverture de journal, le présentateur, annonce d’une voix grave et solennelle d’ordonnateur de Pompes Funèbres la « tragique disparition du plus grand chanteur actuel » sur un ton qui laisse supposer que ce décès ne va pas manquer d’interrompre dans la seconde même la giration de la planète et entraîner de graves bouleversements dans la vie de l’Humanité… 

    Vient ensuite un dithyrambe de dix minutes sur la profonde souffrance physique et morale que tout être humain normalement constitué va sans nul doute éprouver à la disparition subite de ce champion de la chanson pop. Et la litanie de se poursuivre, débitant un long chapelet de louanges : il faut persuader les cinq continents que nous avons perdu un très grand homme.

    La journée se passe. Je rentre chez moi et, le soir venu, je dîne en regardant le journal télévisé : rebelote ! Revoilà « le roi de la pop, une figure de légende » et je t’en tartine comme ça au kilomètre durant vingt minutes de journal et toute la soirée jusqu’au lendemain !

    Je dois avouer que j’en suis resté comme deux ronds de frites. On aurait enterré Louis Pasteur ou Alexander Flemming, bienfaiteurs de la race humaine, qu’on n’en aurait pas autant fait. Il me semblait pourtant, à force d’entendre ce que proclamaient depuis des années les média sur ce guignol, que nous avions affaire à un bien triste sire, peu regardant sur les mœurs, toxicomane, monomaniaque pédophile, à la morale élastique comme un caoutchouc de slip, tripatouilleur d’argent sale, pour tout dire pas franchement sympathique. Le voilà instantanément transformé en héros, que dis-je, en saint ! Pour un peu on lui élèverait un mausolée (à entrée payante bien entendu) et, pourquoi pas, quelques milliers de fans énamouré(e)s pourraient courir s’immoler par le feu autour de la tombe de leur idole. J’en ai même entendu une dire carrément qu’elle ne pensait pas possible qu’il meure un jour… ça ne s’invente pas !

    Notre monde déboussolé n’a pas fini de se confectionner des idoles. Eh bien moi mes idoles ce sont les médecins de brousse au fin fond du Congo, les petites religieuses de l’Inde qui tiennent les mouroirs, les chercheurs qui tentent de nous libérer d’horribles maladies et même – pourquoi pas – les sympathiques écolos qui essaient de sauver notre terre de l’autodestruction. Les idoles que portent au pinacle les média bêlants et trémolants ne me font ni chaud ni froid.

    Il y a près de sept milliards d’êtres humains sur la terre. Nous avons des défis incroyables à relever. Nous vivons une terrible crise économique avec ses chômeurs et ses détresses. Il y a l’Iran, la Corée du Nord, les avions qui décrochent, les tremblements de terre,  la famine qui nous guette, la montée des eaux, cette bonne vieille planète bleue qui se déglingue… Je ne pense pas que la nouvelle du décès de Michaël Jackson ait vraiment ému plus qu’un infinitésimal pourcentage de moutons de Panurge. Une poussière au regard de l’humanité. Chaque époque a les héros et les saints qu’elle peut… Notre société de pacotille où les média sont souverains fait et défait les réputations, transforme les papes en salauds - quand leur enseignement les accuse - et les salauds en gloires, surtout quand cela permet à quelques uns de mieux se remplir les poches.

    Mais, je vous l’avoue,  je ne suis pas si rosse : j’ai tout de même consenti à dire une petite prière pour le pardon de ses péchés laissant à Dieu le soin de peser et de soupeser tout le reste.

    Père Robert POINARD (Vicaire Générale chargé de la Marine)


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