• Comment se fait-il que des jeunes gens qui ont toute la vie devant eux, des jeunes à l'âge que nous qualifions "d'insouciance", pensent déjà à leur retraite ? J'ai plus de 45 ans et je commence juste à m'interessé à la mienne.

    Ne doit-on pas s'inquiéter de voir la jeunesse envisager l'avenir en terme de capacité économique ? Il est vrai que, depuis quelques décennies, tout, ou presque, est abordé en termes économiques. Il approche le jour où la question du bonheur se réduira à "combien tu touches ?" et la réussite sociale se mesurera par "combien tu coûtes ?", exception faite des alléas majheureux (maladie, aides diverses, ...etc.). Ainsi réduit a une unité ou facteur économique, l'homme est déshumanisé. On sait à quoi ont conduit les idéologies qui niaient l'Homme dans sa plénitude en  le réduisant à un unique aspect (fut-ce le plus noble) de son être : manipulation, endoctrinement, répression, sélection, ..., bref le Totalitarisme. Nous vivons une époque redoutable !  


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    "Catholique non pratiquant", voilà comment beaucoup de nos contemporains se présentent. 65% des français se présentent ainsi. La non pratique est un défi pour l'Eglise. Benoît XVI l'aborde à sa manière en souhaitant que les chrétiens retrouvent le sens du dimanche. A voir la petite fréquentation des offices dominicaux, il y a de quoi s'inquiéter. Pourtant je pense que cette situation, bien que désespérante, n'est pas désespérée. En effet ne suffirait-il pas que l'environnement socio-politique change ? Ces dernières decennies, une sorte de consensus existait sur le principe d'une obligation de discrétion concernant son appartenance religieuse. Or ce concensus est en cours de remise en cause par l'arrivée en masse d'une nouvelle réalité religieuse qui semble méconnaître l'obligation de discrétion. Cette nouvelle donne peut engendrer une réaction identitaire qui se traduira, entre autre, par un retour à la pratique chez beaucoup de ces "catholiques non pratiquants". Cette évolution quantifiable sera de nature à rassurer ceux qui observent la vitalité de l'Eglise d'un point de vue mathématique. Mais qu'en sera-t-il de la profondeur, la sincérité, de l'adhésion de foi ? Il me semble que dès maintenant l'Eglise, en France et en Europe sûrement, doit se préparer à accompagner se mouvement afin de le nourir en profondeur dans la foi. Pour ce faire, elle a un trésor de traditions à sa disposition ; les dévotions populaires.


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  • Et oui voici un long moment que j'hésitais à faire cette rubrique. Dans quelle mesure puis-je prendre une position libre publique ? Telle était mon interrogation. Considérant mon devoir d'annoncer la parole de Dieu et de témoigner de la Vérité, je me décide enfin d"aborder quelques sujets qui peuvent faire polémique.

    J'espère que mes propos aideront le plus grand nombre pour se forger un avis.

    Mes libres réflexions supposent, bien sûr, le droit de n'être pas d'accord avec moi.


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