• Et oui voici un long moment que j'hésitais à faire cette rubrique. Dans quelle mesure puis-je prendre une position libre publique ? Telle était mon interrogation. Considérant mon devoir d'annoncer la parole de Dieu et de témoigner de la Vérité, je me décide enfin d"aborder quelques sujets qui peuvent faire polémique.

    J'espère que mes propos aideront le plus grand nombre pour se forger un avis.

    Mes libres réflexions supposent, bien sûr, le droit de n'être pas d'accord avec moi.


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  • Nous avons eu droit, au début des présentes élections présidentielles, au suspens des 500 signatures nécessaires afin de pouvoir se présenter à l'élection  suprême.

    Cette étape finie, je m'autorise quelques réflexions à ce sujet :

    1/ On sait que ce suspens donne l'occasiopn à certains de se faire connaitre en jouant le Caliméro de service.

    2/ Cette originalité législative prouve, s'il en est besoin, que la signature d'un élu est plus importante que celle du citoyen lambda. Ne serait-il pas judicieux de proposer qu'une liste de signatures équivalent à 50% du nombre d'électueurs du département le moins peuplé de France soit suffisant ?

    3/ Dans le même esprit, afin de respecter la voix des citoyens "tous égaux" ; ne serait-il pas judicieux que tout député français ou européen ou sénateur n'ait pas besoin de faire la pêche aux 500 signatures ?

    Les tergiversations autour de la recevabilités des candidats ne me paraissent pas à l'honneur de notre démocratie. N'est-il pas temps que le bon sens inspire le conseil d'Etat et que le principe d'égalité entre citoyens soit une réalité ? restant sauf la prudence évitant les "candidatures fantaisistes".  


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    "Catholique non pratiquant", voilà comment beaucoup de nos contemporains se présentent. 65% des français se présentent ainsi. La non pratique est un défi pour l'Eglise. Benoît XVI l'aborde à sa manière en souhaitant que les chrétiens retrouvent le sens du dimanche. A voir la petite fréquentation des offices dominicaux, il y a de quoi s'inquiéter. Pourtant je pense que cette situation, bien que désespérante, n'est pas désespérée. En effet ne suffirait-il pas que l'environnement socio-politique change ? Ces dernières decennies, une sorte de consensus existait sur le principe d'une obligation de discrétion concernant son appartenance religieuse. Or ce concensus est en cours de remise en cause par l'arrivée en masse d'une nouvelle réalité religieuse qui semble méconnaître l'obligation de discrétion. Cette nouvelle donne peut engendrer une réaction identitaire qui se traduira, entre autre, par un retour à la pratique chez beaucoup de ces "catholiques non pratiquants". Cette évolution quantifiable sera de nature à rassurer ceux qui observent la vitalité de l'Eglise d'un point de vue mathématique. Mais qu'en sera-t-il de la profondeur, la sincérité, de l'adhésion de foi ? Il me semble que dès maintenant l'Eglise, en France et en Europe sûrement, doit se préparer à accompagner se mouvement afin de le nourir en profondeur dans la foi. Pour ce faire, elle a un trésor de traditions à sa disposition ; les dévotions populaires.


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    Cynique

    Cynique

    Cynique ou pas ?

    Cynique ou pas ?


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  • Féminisme ?

    Les femmes sont libérées, mais de quoi ? De la tutelle patriarcale, me dit-on. C'est possible ! Mais ces dernières années j'observe que de nombreuses séparations de couples se font à l'initiative des épouses.


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  • Dans un article d'Isabelle MONDROUD, paru dans le journal "Le Monde" p6 du 08/12/2010, à propos d'Al-Majlissi, Immam à Nouadhchok (Mauritanie), idéologue d'Al-Qaida au Maghreb Islamique, de son vrai nom : Mohamed Salem Ould Mohamed Lemine, je lis : "En France vivent plus de musulmans qu'en Mauritanie" ..."ceux qui y résident, comme dans tout autre pays d'occidental, ont "un contrat de bon voisinage" mais ne peuvent en aucun cas "s'accorder à ce que vous appelez la laïcité" ... "Le musulman ne peut avoir aucune empathie, ni nouer aucune alliance avec les chrétiens et les juifs car il est en conflit et il doit montrer le chemin de l'Islam." "Ne prenez pas pour amis les juifs et les chrétiens ; ils sont amis les uns des autres. Celui qui, parmi vous, les prend pour amis est des leurs. Dieu ne dirige pas le peuple injuste" V21 vocabulaire : dar al-kifr : domaine de l'impiété. dar al-kharaj : domaine du tribut dar al-culh : domaine de la trêve. Toute trêve ne peut excécer 10 ans. C'est la raison pour laquelle le Hamas, en 2006, propose à l'Etat d'Israël une trêve de 10 ans. Le refus de ces derniers fit d'eux, aux yeux des occidentaux ignorants de cette particularité, d'affreux extrêmistes qui perpétuent le conflit. Or la trêve doit permettre de se renforcerr pour reprendre le combat dès que les circonstances le rendent possible fût-ce en l'enfreignant pour mieux surprendre l'adversaire. dar al-ahd : domaine du pacte dar al-dawa : domaine de la mission par la prédication. djihad : combat sacré on le dit mineur pour désigner la forme guerrière et majeur pour le combat éthique en vue d'un perfectionnement in dividuel. Cette distinction n'existe pas dans le Coran, elle se fonde à partir d'un dit de l'Evoyé lui accordant préséance sur la guerre. En revanche, 123 versets du Coran sont consacrés à l'acte de combattre et de tuer. Le djihad mineur qui se livre les armes à la main, plus qu'un acte de guerre est un véritable acte de foi. Celui qui le pratique est appelé moudjahid. S'il meurt, il devient shahid, témoin de la foi, c'est à dire martyr et sera récompensé au paradis de "72 vierges perpétuelles aux yeux noirs" Coran 9, 111. Coran 3,28 et 16,106 traite de la taqiyya c'est à dire la dissimulation de ses convictionsface au danger. La kitman désigne le secret que doit garder le musulman s'il ne veut pas nuire à l'action qu'il suit. Le dhimmi est le statut inférieur dans lequel se retrouve celui qui ne s'est pas converti "Combatteez [...] quiconque ne pratique pas la religion de Vérité parmi ceux qui ont reçu le Livre jusqu'à ce qu'ils aient payé le tribut de leurs propres mains et qu'ils soient humiliés" Coran 29,9.


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  • Je suis plutôt pour :

    Je suis plutôt pour :


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  • Comment se fait-il que des jeunes gens qui ont toute la vie devant eux, des jeunes à l'âge que nous qualifions "d'insouciance", pensent déjà à leur retraite ? J'ai plus de 45 ans et je commence juste à m'interessé à la mienne.

    Ne doit-on pas s'inquiéter de voir la jeunesse envisager l'avenir en terme de capacité économique ? Il est vrai que, depuis quelques décennies, tout, ou presque, est abordé en termes économiques. Il approche le jour où la question du bonheur se réduira à "combien tu touches ?" et la réussite sociale se mesurera par "combien tu coûtes ?", exception faite des alléas majheureux (maladie, aides diverses, ...etc.). Ainsi réduit a une unité ou facteur économique, l'homme est déshumanisé. On sait à quoi ont conduit les idéologies qui niaient l'Homme dans sa plénitude en  le réduisant à un unique aspect (fut-ce le plus noble) de son être : manipulation, endoctrinement, répression, sélection, ..., bref le Totalitarisme. Nous vivons une époque redoutable !  


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  • Le mariage est un fondement de la société, il fonde l'ordre de notre civilisation.

    Que demandent les gay, lesbiennes et autres ? le respect ? mais est-ce respecter que de dire semblable ce qui ne l'est pas ? Il me semble que le respect consiste à tolérer, respecter ce qui ne va pas de soi et qui s'avère possible, ou tout au moins ce qui se fait, se pratique par ailleurs.

    Je crois que le dit:  "mariage pour tous" est une non-idée. je lui préférait le PACS qui permettait une vraie protection et ne s'essayait pas à la confusion si aberrante et malfaisante.

    Maintenant qu'ils vont se marier, ils pourrant divorcer mais à quoi cela va-t-il ressembler ? notre époque est bien patétique  ! ....

      ..... pour ça


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  • Il faut bien avouer que la revendication est cocasse, voici que ceux qui défilent pour leur "fierté" de n'être pas comme les autres demandent, et obtiendrons (?!!!) de pouvoir faire comme les autres, les hétéros.

    Pourquoi s'étonner ? Les mots sont aujourd'hui distordus et on veille a ne plus s'entendre sur les définitions.

    L'Etat depuis longtemps ne parlait plus tout à fait du mariage comme l'entendait l'Eglise depuis longtemps. Il suffira de préciser homo, pour que l'on ne se trompe pas sur ce dont on parle. Comme on le faisait pour civil pour parler d'union devant monsieur le maire, surtout pour camoufler une seconde noce.

    Pour ma part, désormais j'essaierai de garder le mot mariage pour qualifier ce merveilleux sacrement et je parlerai d'union pour le reste.

    Que voulez-vous, les rebelles sont parfois vieux-jeux ; surtout dans une culture atteint de jeunisme exhacerbé.


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  • Il avait la nationalité française, la carte d'identité tout au moins.

    Quoi qu'il en soit, je crois qu'ordinairement on veut se faire enterré sur le sol de sa Patrie.

    Voila, tout est dit.


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    La belle affaire que voilà !

    Il ne manquerait plus qu'on nous propose un référendum : "Êtes-vous pour que les responsables de la nation s'enrichissent à votre dépend ?" ; bien entendu, on nous proposera l'inverse mais la proposition sera aussi stupide que celle que je viens de présenter. Il suffira de répondre par Oui ou par Non. Et les politiques se gargariseront de leur capacité à écouter le peuple alors qu'il le prenne pour un ramassi d'idiots qu'il suffit d'endormir, saouler,  distraire, ... bref tromper.

    Plus que l'enrichissement de certains, il y en a toujours eu et il y en aura toujours qui manqueront de probité et essaieront de s'enrichir sans honneur, la malhonnêteté des hommes politiques réside dans leurs mensonges et leurs turpitudes afin de réaliser ce qu'ils pensent bon à faire en faisant fi des oppositions et des objections, fussent-elles l'expression de la majorité. N'est-ce pas ce qui est en train de se faire avec le dit "mariage pour tous" ? Ces dénies de démocratie sont les vraies plaies et le vrai lieu d'immoralité politique !

    On nous bassinera avec le cumul des mandats. Faut-il être contre ? Nous avons tous connus d'excellent députés-maires qui furent en même temps d'efficaces ministres. Que chacun fasse selon ses capacités. Et que ceux qui ont le gout du pouvoir et qui sont à la mesure de leurs ambitions fassent au mieux. Mais pourquoi n'imposons-nous pas le non cumul des porte-feuilles ? Que celui qui cumule les postes de pouvoir se voient doté du porte-feuille le plus rémunérateur mais qu'il ne puisse pas cumuler les revenus. Voilà une mesure qui permettrait de faire des économies car, non seulement les cumulares ne le feront plus pour intérêt économique,  mais, s'il leur plaiut de crouler sous la charge, ils feront économiser quelques indemnirtés qui pourront alléger la charge de l'Etat.

    La moralisation de la vie politique doit permettre à ceux qui sont au service du bien commun d'oeuvrer au plus et au mieux, mais elle doit permettre surtout à la démocratie d'empêcher les profiteurs et les menteurs de continuer à agir avec un sentiment d'impunité qui, semble-t-il,  n'a pas de limite. Aucune activité gouvernée par des hommes ne peut, par elle même s'affranchir des bassesses et vilénies humaines. Mais la constitution peut organiser des règles et des contrôles qui en limite les risques. C'est de ces dispositions là dont nous avons besion. La démocratie sera toujours en danger tant qu'il ne sera pas possible d'aiguillonner ceux qui, une fois en place, oublient de servir les idéaux pour lesquels ils ont été élus.

    Encore faudrait-il qu'ils y aient cru et qu'ils les aient, effectivement et honnètement, présentés au Peuple. 

    Moralisation de la vie politique

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  • MOUTONS

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  • Nombreux sont les couples qui font cette affirmation lors de leur préparation au mariage.

    C'est heureux, se prédisposer à recevoir la naissance d'un enfant est un des aspect de la validité d'un mariage. Mais avez vous constaté la nuance ? il s'agit de recevoir un enfant et non de vouloir un enfant ! Il est question d'accueillir un don de Dieu qui rend fécond l'amour et non de décider, en toute puissance, le jour et l'heure.

    Ainsi, le couple est invité à vivre sa fécondité dans l'abandon. Je sais que ce regard chrétien n'est pas très à la mode mais n'est il pas le moyen de se préparer, le plus généreusement, à recevoir l'enfant. Notre société, en se voulant maitre de la vie à venir, n'engendre-t-elle pas, contrairement à ce qu'elle en dit, une rigueur de type comptable ou gestionaire, rationelle qui est contraire à la folle générosité de ceux qui aiment ?

    Puissent les jeunes couples se laisser, surtout lors de leurs premières années, aller dans l'imprévu de l'existence que l'on reçoit et qui naît de l'Amour !


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  • Ce n'est pas parce que Benoît XVI ne met plus le préservatif à l'index qu'il n'en est pas moins contre !

     


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    Plutôt d'accord

    Plutôt d'accord

    Plutôt d'accord

    Plutôt d'accord

    Plutôt d'accord

    Plutôt d'accord

    Plutôt d'accord

     

    Plutôt d'accord

    Plutôt d'accord

    Plutôt d'accord

    Plutôt d'accord

    Plutôt d'accord

    Plutôt d'accord

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    Plutôt d'accord

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  • Plutôt pas d'accord

    Plutôt pas d'accord

     

     


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  •        Le parlement français a favorablement envisagé la promulgation d'une loi consistant à sanctionner pénalement les négations de génocides. Si le projet de loi est odopté, la réalité du génocide arménien, entre autres, ne pourra plus être contestée.

                  Ce projet suscite en moi quelques réflexions :

    1/ Je m'étonne que le législateur, politique, s'inquiète sinon de faire l'histoire du moins se charge de l'encadrer. Il me semble que c'est à l'université de le faire. Pourquoi pas en donnant plus de pouvoir moral à l'Institut de France ? Cette dispoosition laisserait possible les débats entre spécialistes jusqu'à approbation de l'Institut qui garantirait les contenus de l'enseignement (primaire, segondaire et universitaire) en France.

    2/ J'observe que la Turquie pour s'opposer à ce projet et faire pression, dont on nous dit que c'est un Etat laïc, accuse la France d'être islamophobe. Or la France ne fait pas d'accusation sur le registre religieux. Le génocide des arméniens ne fut-il pas exécuté lors de l'apogée de l'établissement de l'Etat laïc ? En conséquence, est-il possible d'être en désaccord avec la Turquie sans que cela soit considéré comme une atteinte à leur culture musulmane et donc de type profanatoire ?

    3/ La Turquie, qui est membre de l'OTAN, semble se plaire à faire obstacle aux ambitions françaises sur la zone méditerranéenne. Elle le fait en accusant la France de génocide en Algérie. Ce faisant, elle ridiculise la notion de génocide et, par là, le fondement même du projet de loi en question.

    Le fâcheux désaccord franco-turc s'appaisera sûrement mais il laissera une ombre sur la réalité de la laïcité en Turquie et, peut-être par là ?, de la compatibilité entre laïcité et culture musulmane. 



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